Pour commencer, je vous mets la version "Parle-moi d'amour" qui semble la plus respectueuse de l'original (pages 8 à 41 de l'album).
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vendredi 20 septembre 2019
L'aventure facebook 55
page facebook du 27-08-2019
Pour commencer, je vous mets la version "Parle-moi d'amour" qui semble la plus respectueuse de l'original (pages 8 à 41 de l'album).
Pour commencer, je vous mets la version "Parle-moi d'amour" qui semble la plus respectueuse de l'original (pages 8 à 41 de l'album).
L'aventure facebook 54
page facebook du 21-08-2019
En 1974, Robert Crumb et Aline Kominsky, sa femme, dessinateurs de BD tous les deux, sortent un comics où ils parlent d'eux, de leur relation d'homme et de femme, de couple, de parents, en s'auto-dessinant sur les mêmes planches, dans les mêmes cases : une espèce de psychanalyse en images. Ça s'appelle "Dirty Laundry Comics" et il y en aura plusieurs numéros au cours des années qui vont suivre sous ce nom ou sous d'autres. Un recueil de tous ces comics a été publié en français par Denoël en 2011 sous le titre "Parle-moi d'amour", plus de 250 pages de petites histoires quotidiennes d'un couple célèbre avec des préoccupations assez universelles. Le style graphique des deux dessinateurs est radicalement différent et chacun a ses lecteurs aficionados. C'est un peu difficile au début mais on finit par s'habituer au bout de quelques pages. Cela devient même un plus, un genre de cadavre-exquis.
C'est le premier Dirty Laundry Comics qui a été vampirisé de manière atroce dans l'album Crumbland. Je ne peux pas mettre les planches en regard comme je le fais d'habitude parce que les planches ont été totalement mélangées mais si vous avez la patience de confronter les planches, vous verrez l'ampleur de la supercherie. L'histoire est longue (34 planches). Je vais mettre l'intégralité des deux versions en plusieurs morceaux. J'espère que cela va passer.
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| Couverture de Parle-moi d'amour par Aline et Robert Crumb Editions Denoël Graphic |
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| Couvertures des comics originaux présentés dans Parle-moi d'amour |
En 1974, Robert Crumb et Aline Kominsky, sa femme, dessinateurs de BD tous les deux, sortent un comics où ils parlent d'eux, de leur relation d'homme et de femme, de couple, de parents, en s'auto-dessinant sur les mêmes planches, dans les mêmes cases : une espèce de psychanalyse en images. Ça s'appelle "Dirty Laundry Comics" et il y en aura plusieurs numéros au cours des années qui vont suivre sous ce nom ou sous d'autres. Un recueil de tous ces comics a été publié en français par Denoël en 2011 sous le titre "Parle-moi d'amour", plus de 250 pages de petites histoires quotidiennes d'un couple célèbre avec des préoccupations assez universelles. Le style graphique des deux dessinateurs est radicalement différent et chacun a ses lecteurs aficionados. C'est un peu difficile au début mais on finit par s'habituer au bout de quelques pages. Cela devient même un plus, un genre de cadavre-exquis.
C'est le premier Dirty Laundry Comics qui a été vampirisé de manière atroce dans l'album Crumbland. Je ne peux pas mettre les planches en regard comme je le fais d'habitude parce que les planches ont été totalement mélangées mais si vous avez la patience de confronter les planches, vous verrez l'ampleur de la supercherie. L'histoire est longue (34 planches). Je vais mettre l'intégralité des deux versions en plusieurs morceaux. J'espère que cela va passer.
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