dimanche 23 octobre 2022

Aventure Facebook du 23 octobre 2022

 "Mes déclencheurs de boulimie imagière" ou "Donnez-nous aujourd'hui nos clichés quotidiens"

N°13 : Olympus Camedia C920Z compact numérique – 1998-2005
Mon premier appareil numérique digne de ce nom était un outil de fonction acheté sur les fonds du lycée pour mes élèves d'Arts Plastiques. L'Olympus C920Z était un appareil à géométrie variable qui se mettait en marche en faisant glisser le devant du boitier sur la droite pour dégager l'objectif. Il était couleur argent avec une espèce de fausse poignée or avec des picots en relief et était équipé de son petit sac de protection et de rangement en simili cuir brun-rouge et un cordon noir. Au dos, l'écran de contrôle et de visée était bien petit. En façade, il affichait fièrement sa médiocre définition : 1,3 millions de pixels. Il engrangeait les données sur cartes Smart Media très larges et très minces et il était alimenté par quatre piles AA de 1,5 volt. Très vite je me suis équipé de deux jeux de quatre batteries et d'un chargeur pour rassasier ce dévoreur d'énergie : un jeu de piles alcalines neuves ne durait que quelques heures. Extrêmement bien conçu, il n'était ni trop lourd, ni trop léger pour la prise de vue. Vite opérationnel, il tenait bien en mains et avait tout l'équipement de base intégré : flash automatique, retardateur, trois choix pour la définition et surtout un zoom qui allait du grand angle au téléobjectif. Fini les mallettes en aluminium et les sacs en cuir épais, il m'accompagnait partout sans être encombrant et devenait comme un carnet de croquis toujours sous la main et à disposition d'une capture.
Tellement passe-partout et discret qu'on finissait par l'oublier et le poser n'importe où. C'est ainsi qu'un jour, alors qu'il était en attente sur une chaise, quelqu'un s'est assis dessus et a brisé le mécanisme de repli de l'objectif qui était sorti. Devenu inutilisable, le foyer du lycée sollicité m'a financé un nouvel appareil pour mes élèves. Le trésorier du foyer a récupéré celui cassé et l'a fait réparer pour le mettre au service des activités annexes de l'ensemble de l'établissement. Comme on ne modifie pas une équipe qui marche, j'ai racheté le même modèle d'Olympus Camedia, la seule différence visible était la robe dorée du boitier au lieu d'une argentée.
L'air de rien, on venait de basculer dans une autre ère, celle de la photo opulente, facile, pas chère donc à la portée de tout le monde, de l'avalanche de clichés pour tout et pour rien, et personne ne s'en privait. Les élèves l'avaient tout de suite adopté : ils photographiaient tout, leurs copains, leurs grimaces, leurs chaussures, les murs de la salle d'Arts Plastiques et le prof, prioritairement avant de photographier leurs productions plastiques comme ils le devaient. Le moindre évènement devenait prétexte à reportage : l'arbre de Noël du Lycée, la chorale des profs, la journée Portes ouvertes en Arts Appliqués, l'atelier Capoeira, le carnaval de l'internat … Pour le démarrage et dans le seul mois de décembre 1998, on attaque fort avec cinq cent quarante photos. Impensable avec notre argentique pourtant de bien meilleure qualité visuelle. L'année suivante c'est près de trois mille trois cent photos que relève le compteur de l'appareil avant de se stabiliser les années suivantes autour de cinq à six mille.
L'Atelier photo s'est très vite adapté à ce nouvel outil d'autant plus qu'on pouvait aussi faire tirer sur papier ces nouvelles images par des professionnels comme avant. On continuait de prendre des images de qualité avec les Nikon mais de moins en moins, on commençait aussi à délaisser le labo pour des séances de prises de vue plus nombreuses, plus longues, plus mises en scène.
Mais cet usage intensif d'un objet majoritairement en matière plastique, donc fragile, par des mains multiples et pas toujours très précautionneuses, a fini par user, puis briser certaines butées du logement des batteries, du tiroir de l'objectif, de la porte de raccordement. Prendre des photos avec l'éjection intempestive des batteries en plein cadrage malgré des bandes adhésives de plus en plus nombreuses devenait de la haute voltige. Après quelques réparations de fortune à base d'épingles rougies au feu et fichées dans les parois, il a bien fallu se décider à lui trouver un remplaçant. Ce sera un autre Olympus Camedia, le C750UZ qui lui succèdera mais vous vous doutez déjà que ce sera la prochaine histoire.



Elèves plus ou moins au travail dans la salle d'Arts Plastiques du Lycée Diderot, 1, 10-12-1998 et 19-05-1999.

Arbre de Noël du Lycée, la chorale des profs, démonstration de Capoeira, le 14-12-1998; Journée Portes ouvertes en Arts Appliqués, 15-03-2000; carnaval de l'Internat, 3-03-1999.

Séances de pose pour portraits, Atelier Photo, 14 et 22 janvier 1999, 4 février 1999, 5 mai 2000.


9-11-2004 - photo prise par un élève de T°L avec l'Olympus Camedia C750UZ, on y voit le C920Z.

6-12-2004 - Photo prise par une élève de 1°L avec l'Olympus Camedia C750UZ, on y voit le C920Z.

24-01-2005 - photo prise par une élève de 1°L avec l'Olympus Camedia C750UZ, on y voit le C920Z.

2-05-2005 - photo prise par une élève de T°L avec l'Olympus Camedia C750UZ, on y voit le C920Z.

Louis Cane dans son exposition au Musée des Tapisseries, Aix-en-Provence le 6-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Expo Louis Cane au Musée des Tapisseries, Aix le 6-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Chris Marker aux Rencontres d'Arles 12-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Annette Messager aux Rencontres d'Arles 12-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Annette Messager aux Rencontres d'Arles 12-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Annette Messager aux Rencontres d'Arles 12-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Expo Georges Rousse à la chapelle Saint-Charles, Avignon 5-09-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait momentanément du service, il fonctionne toujours.

Expo Georges Rousse à la chapelle Saint-Charles, Avignon 5-09-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait momentanément du service, il fonctionne toujours, on y voit le photographe au travail.




mardi 18 octobre 2022

Aventure Facebook du 17-10-2022

 "Mes déclencheurs de boulimie imagière" ou "Donnez-nous aujourd'hui nos clichés quotidiens"

N°12 : Nikon F3 reflex 24-36 – 1983-2001

En février 1983, en poste à Goussainville, nous habitions sur Paris et le prix des objectifs Nikkor restait prohibitif même chez les marchands de matériel photographique d'occasion que je fréquentais. Par chance, cette même année, Bruno devait faire un autre tour du monde passant par l'Asie. Françoise le rejoignait à certaines escales dont une à Tokyo, le Panthéon du Nikon. C'est elle, cette fois ci, qui me ramena les deux objectifs à grande ouverture commandés : un grand angle 24/2 et un petit téléobjectif 135/2. Depuis longtemps, j'avais envie de me racheter un boitier Nikon F3 pour remplacer le F2 qu'on m'avait dérobé mais je ne voulais pas l'acheter à l'étranger craignant d'éventuels futurs passages de frontière difficiles avec du matériel non taxé en France. Avant de partir pour la Martinique, en septembre 1983, je me décidais finalement pour un achat à la Fnac en payant le prix fort. La sacoche de plombier, trop exiguë pour tout ce matériel nouveau, fut elle aussi avantageusement remplacée par une valise en aluminium très professionnelle.

Le F3 devenait ma bécane principale, celle avec laquelle je prenais des diapositives, le FM était chargé en pellicules négatives, pour des images en noir et blanc ou en couleurs papier. Les quatre objectifs passaient de l'un à l'autre des boitiers en fonction du choix de prise de vue. Ce tandem dura de longues années jusqu'au déclin de l'argentique.

Le climat tropical n'était pas tendre pour les objets quels qu'ils soient et les optiques Nikkor ont payé un lourd tribut aux moisissures, autant si ce n'est plus que le sable du Sahara, à notre retour d'Algérie. La première année, j'ai essayé de nettoyer moi-même les lentilles intérieures du téléobjectif. J'ai démonté proprement avec des outils d'horloger les vis qui fixaient les diverses bagues autour des lentilles de verre. J'ai avec précaution enlevé les moisissures de leurs surfaces mais quand il s'est agi de remonter l'objectif mes doigts étaient bien trop gros pour pouvoir tenir les alignements nécessaires au remontage, je pense que chez Nikon, ils doivent avoir un bâti spécial qui maintient la synchronisation des bagues pour pouvoir remettre les vis à leurs places. Du coup, j'ai téléphoné à Nikon France-Paris qui a compris mon problème et a accepté de me remonter l'objectif à condition de leur envoyer toutes les pièces détachées.  Quelques jours plus tard, ils me renvoyaient mon téléobjectif remonté et garanti pour une somme correcte. De ce jour et pendant toute notre vie martiniquaise, ils sont devenus des amis que j'allais voir tous les ans ou presque pour faire nettoyer ou entretenir mon matériel. Je déposais mes outils agressés en arrivant sur Paris et ils me les rendaient remis à neuf quelques jours plus tard : j'avais une priorité tropicale ou quelque chose de ce genre.

Arrivé à Marseille en tant que prof de lycée, je me devais d'enseigner aussi l'Histoire de l'Art et mes deux boitiers avec le Micro-Nikkor ainsi que le statif du Durst M601 fonctionnaient à plein régime. Il me fallait une banque d'images "spéciale œuvres d'Art" et je l'ai constituée les deux ou trois années suivantes sous forme de diapositives et à grands frais. J'ai dû 'clicheter' de 10 à 12 000 reproductions d'œuvres sur des livres d'art pendant cette période pour illustrer mes cours de supports visuels. Hélas pour moi, le monde était en train de passer au numérique et tout ce travail n’a servi qu'un temps très court précédent l'an 2000 avant de finir lui aussi sur mes étagères où toutes mes choses chéries finissent et finiront.

Au Lycée Diderot, j'ai très vite demandé et obtenu l'autorisation de monter un atelier photo entre midi et deux heures, pour les élèves et les collègues volontaires. J'allais pouvoir renouer avec la pratique du labo et des tirages noir et blanc délaissés depuis des années. Des photographes professionnels m'ont accompagné dans ces projets comme Patrick Box, Lionel Fourneaux et Jean-Marie Plume.

Si j'avais pu obtenir un local, des crédits pour monter un Labo-photo, rémunérer les intervenants et couvrir les frais de fonctionnement, je n'ai pas pu acheter de matériel de prise de vue. Gardant en tête mes premières années d'apprentissage de la photo et mes appareils argentiques me servant de moins en moins, j'ai mis au service de mes novices mes propres déclencheurs comme l'avait fait pour nous, pour moi, Monsieur Finidori dans les années soixante-dix. Transmission de relais : avais-je le droit de faire moins ?






Quelques planches contact de l'atelier photo de Diderot en 1997, 2001 et 2002 et le fantôme de monsieur Finidori.

Ma banque d'images en diapositives dans des boites Prestinox sur les étagères, images du 16-10-2021 (déjà postées dans la série "Etagères").

Ma banque d'images en diapositives dans des boites Prestinox sur les étagères, images du 16-10-2021 (déjà postées dans la série "Etagères").

1997-98 Nikon F3 - Studio de Patrick Box, rue Estelle -Seb-Damien-Julien.

1997-98 Nikon F3 - Studio de Patrick Box, rue Estelle -Seb-Damien-Julien.

1997-98 Nikon F3 - Studio de Patrick Box, rue Estelle -Seb-Damien-Julien.

1997-98 Nikon F3 - Studio de Patrick Box, rue Estelle -Seb-Damien-Julien.

1997-98 Nikon F3 - Studio de Patrick Box, rue Estelle -Seb-Damien-Julien.

1997-98 Nikon F3 - Studio de Patrick Box, rue Estelle - Patrick Box boxe. (Pour toutes les photos du Studio, les éclairages sont réglés par lui)

1997-98 Nikon F3 - Studio de Patrick Box, rue Estelle - Patrick Box boxe. (Pour toutes les photos du Studio, les éclairages sont réglés par lui)

2000-02-03 Patrick prenant un portrait avec le Nikon FM - Atelier photo, salle d'Arts Plastiques, Lycée Diderot.

2000-02-03 Elève prenant un portrait avec le Nikon FM - Atelier photo, salle d'Arts Plastiques, Lycée Diderot.

2000-02-03 Elève prenant un portrait avec le Nikon F3 - Atelier photo, salle d'Arts Plastiques, Lycée Diderot.

2000-02-03 Elève prenant un portrait avec le Nikon F3 - Atelier photo, salle d'Arts Plastiques, Lycée Diderot, le flou frapperait-il toujours les débutants ?

2000-02-03 Elève prenant un portrait avec le Nikon F3 - Atelier photo, salle d'Arts Plastiques, Lycée Diderot, le flou frapperait-il toujours les débutants ?

22 - 2001-2002 - Atelier Photo du Lycée Diderot - Kodak 5053TMY - Nikon FM - Halim au Nikon F3

23 - 2001-2002 - Atelier Photo du Lycée Diderot - Kodak 5053TMY - Nikon FM - Nikon F3- Le flou des débutants n'est pas qu'une légende.

dimanche 9 octobre 2022

Aventure Facebook du 9 octobre 2022

 "Mes déclencheurs de boulimie imagière" ou "Donnez-nous aujourd'hui nos clichés quotidiens"

N°11 : Polaroid SX70 alpha 1-modèle 2 – 1981-1991

Notre troisième et ultime Polaroid, c'était le graal, the real big, celui à soufflet qui se repliait comme un robot Transformer et devenait une espèce de portefeuille avec dragonne : le SX70. Comme je l'ai déjà dit précédemment, je l'avais acheté d'occasion à Paris courant 1981. Il était noir et simili cuir marron et il était vendu avec son flash électronique amovible, un retardateur mécanique externe et déclencheur souple : la totale, quoi ! - Encore qu'il faut le dire vite - les accessoires, non seulement eux ne se pliaient pas mais ils étaient particulièrement volumineux et biscornus donc pas facile à ranger.

Ils nous ont néanmoins accompagnés dans notre épopée algérienne. Le SX70, malgré son bien meilleur objectif que le Polaroid 1000, n'était pas plus adapté pour la prise de vue de paysages grandioses de l'Algérie et il ne nous reste que très peu d'images (moins d'un pack conservé) et les photos représentent exclusivement des portraits plus ou moins classiques de Béatrice dans des décors réduits.

De retour à Paris, en 1982-83, nous avions radicalisé les portraits et les murs de l'appartement de la rue Boinot s'ornaient de jour en jour de trophées de nos visiteurs. J'avais mis au point un protocole vicieux qui consistait à flasher en gros plan le visage de tous nos amis venus nous rendre visite au moment où nous leur ouvrions la porte ou quelques instants plus tard. Surprendre le naturel au bond c'était le but qui ne fut pas souvent atteint. Quelques minutes plus tard, le papillon crucifié était épinglé sur le mur.

Le SX70 était particulièrement propice à ce temps des copains, on l'utilisait dans des fêtes ponctuelles comme celle de Lezennes chez Véro : quelques instants banals, quelques pas de danse, quelques visages d'amis aujourd'hui disparus ou perdus de vue. Du bonheur oublié, des sourires pour notre éternité, des souvenirs fixés à jamais dans quelques grammes de colorants et de matière plastique.

Et puis ce fut la Martinique avec, dans un premier temps, des images expérimentales de notre case à Desbrosses-la-vallée près de Ravine Vilaine, il y avait déjà des miroirs et des lessives mais surtout plus tard vint la naissance des enfants. On parlait enfin Polaroid, on envoyait par avion aux parents des photos des nouveaux nés quelques heures ou minutes après l'accouchement accompagnées de commentaires perspicaces et un peu inquiétants au dos des clichés.

Parler Polaroid, ça va bien cinq minutes et puis on est retourné assez vite à notre mutisme naturel tout en espaçant de plus en plus nos bouffées délirantes d'achat de packs, nos envies de saisir l'instant décisif au moment critique. Nous avons encore essayé de faire quelques images de nos amis de la Papaye dans l'esprit de celles de la rue Boinot mais le cœur n'y était plus. Le SX70 a encore été utilisé une fois au moment de l'agrégation pour garder une trace de la production plastique faite en douze heures, une photo foireuse prise à la sauvette dans un état second à la fin de l'épreuve et puis plus rien.

Je ne sais pas trop si c'est le climat tropical de Martinique ou l'entropie naturelle des matières pétrochimiques mais le simili cuir ou le skaï qui recouvrait les parties planes du SX70 étaient complètement décomposées à notre arrivée à Marseille, en 1993. Je me suis imposé d'arracher tous les résidus poisseux, de diluer tous les restes de colle attachés encore au boitier noir et j'ai retaillé des parements dans du Vénilia adhésif jaune pour remplacer ceux dégradés. J'aime bien sa nouvelle livrée très taxi-cab mais pour l'instant, le SX70 n'a toujours pas repris du service et reste bien à sa place, sur l'étagère-cimetière des éléphants où résident d'autres copains quelque peu obsolètes mais en parfait état de marche. 


Algérie et Kabylie, de gauche à droite et e bas en haut : Béatrice fait des œufs au plat, Sour-El Ghozlane, 1982; Béatrice en robe kabyle, Sour-El Ghozlane, 1982; Béatrice assise sur le lit, Sour-El-Ghozlane, 1982; Béatrice avec la robe kabyle, Sour-El Ghozlane, 1982; Béatrice assise près de la piscine d'un hôtel, Aïn Salah, 1982.

La frise Polaroid des copains de la rue Boinot à Paris : Bruno, 1982-83; Michel 1, 1982-83; Samuel, 1982-83; Jacques, 1982-83; Françoise, 1982-83; Béatrice, 1982-83; Aziz 1, 1982-83; Christine, 1982-83; Machu, 1982-83; Daniel, 1982-83; Hervé, 1982-83; Françoise, 1982-83; Laby, 1982-83; Nathalie, 1982-83; Yolande, 1982-83.

La plupart des photos de la série sont de Béatrice. En haut et de gauche à droite puis en bas : Daniel et une inconnue de dos, Lezennes 1982-83; Gérard et Véro au téléphone, Lezennes 1982-83; Véro et Gérard dansent, Lezennes 1982-83; Yolande danse, Lezennes 1982-83; Yolande et Gérard, Lezennes 1982-83; Véro, Gérard et Jacques, Lezennes 1982-83; Lamine, Daniel et Aziz, Lezennes 1982-83; Véro et Gérard, Lezennes 1982-83.

Martinique, en haut : naissance d'Ariel, en bas : naissance de Chloé.
1985-01-19 (samedi) Ariel a moins de 24 h et jette un sort (avec sa main)_1 recto + verso; 1985-01-19 (samedi) Ariel a moins de 24 h et sommeil_1 recto + verso; 1985-01-19 (samedi) Ariel a moins de 24 h et une tête de boxeur après le match_1 recto + verso.
1988-03-02 - Chloé le jour de sa naissance, à la clinique, Fort-de-France_7; 1988-03-02 - Chloé le jour de sa naissance, à la clinique, Fort-de-France_3; 1988-03-02 - Chloé le jour de sa naissance, à la clinique, Fort-de-France_2.

La Fiat 502 de Gaston Lagaffe d'André Franquin, un étui à cigarettes des taxis jaunes acheté à New York en 1979 et une figurine Betty Boop comme il se doit...

1983-04 Nikon F3 - Ekta - 7 Le séjour, 47 bis rue Boinot, XVIII° Paris. On y voit la frise de Polaroids pas encore terminée.

1983-04 Nikon F3 - Ekta - 9 Le séjour, 47 bis rue Boinot, XVIII° Paris. On y voit la frise de Polaroids pas encore terminée.

Polaroid SX70, Daniel, Lamine, Yolande, Gérard et Jacques, Lezennes novembre 1982. On y voit l'avant du Transit avec les graffitis. Photo de Béatrice.

Polaroid SX70, Un pigeon sur le vasistas, la Roquette 1983.

Polaroid SX70, Chaussures de Béa et de Jacques, La Roquette, 1983.

1983-09 Nikon F3 - Ekta - 7 Deux Polaroid sur l'étagère au 132 rue de la Roquette, Paris.

Polaroid SX70, 1983 - Lessive et salle de bains de la case, Desbrosses-la-vallée, Fort-de-France, Martinique.

Polaroid SX70, 1983 - Lessive dans la salle de bains de la case, Desbrosses-la-vallée, Fort-de-France, Martinique.

Polaroid SX70, 1983 - La cage tunisienne de Sidi Bou Saïd et les perruches, Desbrosses-la-vallée, Fort-de-France.

1983-04 Nikon F3 - Ekta - 1 Les perruches au 47 bis rue Boinot, XVIII° Paris.

Polaroid SX70, Les perruches 1, rue Boinot, 1982-83 (photo rectifiée par pression de stylo à bille en cours de développement).

Polaroid SX70, Cactus (photo rectifiée par pression), rue Boinot, Paris1982-83.

Polaroid SX70, Béatrice fait la roue, Maule, 1985-86 (rectifiée par pression).

Polaroid SX70, Tableau avec motifs caraïbes et spirales aborigènes réalisé en 12 heures pour l'épreuve plastique de l'Agrégation d'Arts Plastiques, Maison des examens à Arcueil le 28 octobre 1991.