mercredi 7 décembre 2022

Aventure Facebook du 06 décembre 2022

"Mes déclencheurs de boulimie imagière" ou "Donnez-nous aujourd'hui nos clichés quotidiens"
N°15 : Olympus Camedia SP550UZ bridge numérique – 2008-2010
Nous eûmes deux ans de vie commune agréable et bien remplie avec mon troisième Olympus avant notre rupture de juin 2010. Je le reconnais, monsieur le juge, c'était de mon fait, je quittais le lycée Diderot où j'avais passé dix-sept ans pour un autre, le lycée Thiers, et le matériel de la dotation restait dans l'établissement bien évidemment.
Comme dit précédemment, la transition du 750 au 550 reste très confuse dans ma tête et pourtant l'Olympus 550 était encore mieux que son challenger. Son zoom passait de dix fois à dix-huit fois, son capteur dépassait les sept millions de pixels, il avait un écran de deux pouces et demi donc bien plus large, il prenait aussi des vidéos et surtout il avait un stabilisateur optique intégré qui évitait pas mal de flous… mais pas tous. Il était recouvert de caoutchouc noir pour une très bonne prise en mains et son objectif télescopique en trois segments pouvait s'extraire de près de dix centimètres du boitier. Parmi les premiers essais, en avril 2008, j'inaugurais les premiers "Brian dans la cuisine" sans le savoir.
Signe des temps, évolution des mentalités ou pur hasard, les élèves semblaient moins polarisés par l'image qu'ils présentaient aux autres, je n'ai presque plus retrouvé de séries clandestines de mimiques exubérantes ou avantageuses. Quelques rares images d'autodérision s'intercalaient parfois au milieu de prises de vue de leurs travaux, rien de plus.
Si les autres fonctions régaliennes : photos d'expositions en tous genres, images des épreuves d'examen, continuaient comme avant, une autre catégorie s'est développée à cette période, celle des prises de vue en stage. Il y avait les stages de formation liés aux programmes limitatifs changeants par tiers tous les ans mais aussi ceux d'approfondissement volontaire de culture artistique comme ceux organisés à la Collection Lambert ou au Mac, ou encore les séminaires pédago-photographiques des Rencontres d'Arles.
A cette même période, je me souviens d'avoir pris aussi beaucoup d'images, des travaux et des expositions de Chloé en formation aux Beaux-arts, parallèlement aux siennes qu'elle renseignait très bien avec son propre appareil.
Et puis, lorsque j'ai quitté Diderot en juillet 2010, j'ai remis l'Olympus SP550, à Muriel qui me succédait sur le poste et j'ai sorti de son hibernation le C920Z bien fatigué mais encore valide qui a assuré l'intérim jusqu'à ma prise de fonction dans mon nouveau lycée, en septembre.
A mon arrivée à Thiers, j'y ai trouvé un autre appareil photo numérique grand public destiné aux élèves et à l'enseignant d'Arts Plastiques, c'était un Samsung L110, très compact, bien plus petit que mon Olympus 550, et avec lequel j'ai eu une liaison de deux trimestres sur laquelle je reviendrai plus tard. Mais surtout, j'avais enfin trouvé les moyens de me financer un rêve de plusieurs années celui d'un Nikon reflex numérique plein format (FX) qui pourrait accepter mes objectifs Nikkor du FM et du F3, ce sera le Nikon D700 et c'est l'histoire du prochain épisode. 
3 avril 2008 - Cuisine, ombres des verres, les premiers Brian sans le savoir.

En haut, de gauche à droite : 2008-04-28_ Sarah essaie d'imiter sa caricature sur le tableau, 2007-12-17_Laura joue La Joconde, 2007-12-17_Le prof de dessin vu par Laura, 2007-12-17_Le Prof essaie d'imiter sa caricature. A gauche : 2007-05-26_ Oumi devant son autoportrait, en bas : 2019-02-14_Le Prof et le pull Blake et Mortimer pour l'image d'accueil de Facebook en 2019. Ces photos sont entrecoupées de réalisations d'élèves pour l'exercice "Contenir l'explosion".

Photos de l'exposition de Christian Lacroix au Musée Réattu, d'Arles le 15 mai 2008. On y voit des œuvres/mannequins de Daniel Firman "Superpoleposition", 2004 et "Dust", 2008, "La vague verticale pour Bernard Palissy", 2004-2006 de Johan Creten et bien sûr des robes, croquis et bijoux de Christian Lacroix.

Travaux personnels d'élèves présentés à l'épreuve facultative du Bac d'Arts Plastiques à Pertuis le 28 mai 2008.

Stage Espace, mouvement et son au MAC de Marseille en relation avec le programme limitatif du Bac. On y voit une "Moonette" de Chris Burden, un panneau lumineux de Julien Blaine, une sculpture "Sans titre" mais qui respire de Wendy Jacob, "Amore Mio" en quatre fragments de Richard Baquié, le "Rotozaza" de Jean Tinguely, "La table autour de la Méditerranée" de Michelangelo Pistoletto, un gisant-montagnes russes d'Hervé Paraponaris, deux sculptures de Lionel Scoccimaro "Faire l'autruche serait une attitude répandue, la femelle et le mâle", les pieds de John Coplans.

Stage à La Collection Lambert, Avignon autour de l'exposition de Douglas Gordon, le 20 novembre 2008. 

Stage aux Rencontres d'Arles le 11 juillet 2009 avec des œuvres de Joan Fontcuberta, de JR, de Laurent Millet, on y voit aussi JH Engström, un ami de Nan Goldin, au centre. 

Les sculptures et installations de Chloé aux Beaux-arts et dans la rue. 

2008-06-15 Expo chez Raymond Galle à 200RD10, Photos d'Hervé ou Françoise, on y voit l'Olympus SP550 dans mes mains et loin de mes yeux. 
2008-09-13 Hervé et Jacques autour de la table de la Méditerranée de Pistoletto, au Fort Saint Jean, photo de Françoise. 

2009-06-19 Expo L’autre- Justin Sanchez, La Friche_P6193490. 

2009-06-19 Expo L’autre- Justin Sanchez, La Friche_P6193490, on y voit l'Olympus et Béa. 

2009-07-26 Chloé avec le SP550 dans l'Exposition "Dream Time" de David Altmedj, aux Abattoirs, Toulouse_P7264515 

2008-05-29 expo Laurent Le Forban à Porte-avion_P5290120 

2008-05-29 expo Laurent Le Forban à Porte-avion_P5290122

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2008-05-29 expo Laurent Le Forban à Porte-avion_P5290123

vendredi 4 novembre 2022

Aventure Facebook du 4 novembre 2022

"Mes déclencheurs de boulimie imagière" ou "Donnez-nous aujourd'hui nos clichés quotidiens"

N°14 : Olympus Camedia C750UZ compact numérique – 2004-2008

En remplaçant du C920Z bien fatigué au niveau des matériaux, l'Olympus Camedia  C750UZ avait tout de mieux : une définition de quatre millions de pixels au lieu d'un virgule trois, un zoom optique dix fois au lieu de trois et une carte XD de petite taille à la place des Smart Media. Soyons objectifs : disons presque tout parce que l'écran restait encore petit et l'appareil était bien plus volumineux et d'un design moins sophistiqué. Si le 920 avait eu sept ans de bons et loyaux services avant une retraite bien méritée plus une reprise de quelques mois en 2010, le 750 lui, en témoignent les tags numériques dans les propriétés des photos, n'aura assuré son service que quatre ans. Curieusement, son image reste confondue dans mon esprit avec son successeur, un autre Olympus Camedia, le SP550UZ, qui fut, lui aussi, un appareil de service pour les élèves et pour ma documentation pédagogique personnelle. Encore plus curieusement, je n'ai plus aucun souvenir de la raison de son remplacement aussi rapide. Qui en avait pris la décision ? Pour quelle raison ? Je ne me souviens ni un vol, ni une panne, ni une usure précoce. Qui avait choisi ce modèle ? Comme ce n'était pas moi qui gérait le financement d'achats de matériel pour le lycée, peut-être que l'initiative en revenait à l'intendance ou au foyer socio-éducatif mais pour quel motif ? Quoi qu'il en soit, le 2 mars 2008 le C750UZ prenait encore des images tout à fait correctes et le 6 mars 2008 le relais était pris par le SP550UZ qui le remplaçait au pied levé dans ses fonctions.

Pour toute cette période, où j'étais en poste au Lycée Denis Diderot, la définition des usages des appareils de prise de vue était identique : documentation des travaux d'élèves, documentation de l'actualité de l'art contemporain, documentation des épreuves plastiques de Spécialité du Baccalauréat. En fait, les élèves de cet âge, particulièrement soucieux de leur image physique et de celle de leurs camarades avaient rajouté une catégorie au programme qui prenait largement la priorité sur les autres : "Je te prends, tu me prends, on se prend et tout le reste n'est qu'accessoire."

Je me suis retrouvé avec la plus belle collection de moues, de grimaces, de sourires, de copains inconnus… selfis souvent flous, involontaires et décadrés mais témoignages de première main d'une sociabilité et d'une amitié heureuse et décomplexée qui transcende les générations.

D'autre part, il y avait encore et toujours les photos d'œuvres prises dans les musées, les galeries, les expositions, les biennales qui auraient toutes méritées d'être légendées en détail pour un usage pédagogique rationnel et efficace mais les élues furent peu nombreuses. Restent des centaines d'images potentiellement intéressantes mais qui ont finalement perdu tout leur sens, au fil des mois et des années, faute de rigueur ou plutôt de volonté pour assurer cette tâche longue et fastidieuse. Conscient du risque de cette perte à venir, certains jours, lors de la prise de vue dans les expositions, je photographiais les cartels me promettant de taguer plus tard leurs informations pour les associer à chaque photo mais ce n'était jamais systématique et puis, une fois rentré à la maison, je n'ai fait que très rarement ce travail d'archiviste et les photos de cartels resteront de la boue de dossiers.

Une autre constante qui émerge de ce panel photographique lié au C750UZ, c'est celui d'expositions mémorables comme "Chine, le corps partout" au MAC ou "A fripon fripon et demi" à la Collection Lambert à Avignon ou encore "John Bock" au FRAC. On y voit parfois des célébrités immortalisées plus ou moins à leur insu lors de performances ou présentations. Images hésitantes, prises à la sauvette, lors de vernissages, souvent peu nettes ou oblitérées par d'autres visiteurs mais qui gardent leur statut de traces d'une conjonction improbable ou encore d'une proximité de moments exceptionnels forts sympathiques. En tout état de cause, de conforter une autre sociabilité rare et vécue qui n'enferme pas l'art dans une simple monstration. 

Parmi les premières images du Camedia C920Z, des essais à la maison, le 22-05-2004.

Des images de Morgane, Julia et Karen avec une fois ou deux des camarades associés. Images prises au Lycée de 2004 à 2006.

Des cartels à associer à des œuvres, un jour... MAC, Marseille, Centre Georges Pompidou, Paris, Astérides, Friche Belle de mai, Marseille.

Cadres noirs, présentation officielle de l'exposition : on y voit une dizaine d'artistes chinois et Jean-Michel Jarre (lunettes foncées au fond de la première image).

En haut à gauche, présentation de l'exposition dans la cour de la Collection Lambert, Avignon, Jeanne Balibar chante. Les œuvres sont de Claude Lévêque, Tony Oursler, Katia Bourdarel, Bertrand Lavier, Pierrick Sorin, Kenji Yanobe et d'autres dont j'ai oublié le nom faute de les avoir légendés sur le moment.

Performance de John Bock consacrée à Antonin Artaud, au théâtre et son double.

2004-03-05 Soirée Anthologie Fluxus et Ben, CIPM, Marseille.


2004-03-05 Soirée Anthologie Fluxus et Ben, CIPM, Marseille.

2004-05-30 Robert Combas au travail, devant la mairie d'Aix.

2004-07-02 Expo Glen Baxter, Centre de Poésie CIPM, Marseille.

2004-07-02 Expo Glen Baxter, Centre de Poésie CIPM, Marseille.

2004-07-08 Expo Jean-Claude Le Gouic, Galerie Suzini, Aix-en-Provence.

2004-11-18 Expo Bye Bye la Perf (Julien Blaine à la Friche).

2004-11-18 Expo Bye Bye la Perf (Julien Blaine à la Friche), réinterprétation de la performance de Josef Beuys, Comment raconter l'Histoire de l'art à un lapin mort.

2005-02-10 Georges Didi-Huberman, Bibliothèque de la Méjanes, Aix.

2005-06-24 Koki Watanabe, Expo Laurent Le Forban, Tohu Bohu. La Mercedes et les élastiques étaient de Laurent bien sûr.

2005-06-24 Expo Laurent Le Forban, Tohu Bohu, Marseille.

2006-10-05 Expo Performance de Barthélémy Toguo, Frac, Marseille.

2007-05-10 Expo Livre d'art de Claude Viallat, Paradigme, Marseille. En plus de Claude Viallat, assis, on y voit Bernard Remusat, graveur.

2004-2005 Atelier Photo de Lionel Fourneaux à Diderot, on y voit l'Olympus Camedia C750UZ sur pied.

2004-2005 Atelier Photo de Lionel Fourneaux à Diderot, on y voit l'Olympus Camedia C750UZ, Karen et Lionnel.

2005-05-02 Elodie élève de 1°L, on y voit l'Olympus Camedia C750UZ.




dimanche 23 octobre 2022

Aventure Facebook du 23 octobre 2022

 "Mes déclencheurs de boulimie imagière" ou "Donnez-nous aujourd'hui nos clichés quotidiens"

N°13 : Olympus Camedia C920Z compact numérique – 1998-2005
Mon premier appareil numérique digne de ce nom était un outil de fonction acheté sur les fonds du lycée pour mes élèves d'Arts Plastiques. L'Olympus C920Z était un appareil à géométrie variable qui se mettait en marche en faisant glisser le devant du boitier sur la droite pour dégager l'objectif. Il était couleur argent avec une espèce de fausse poignée or avec des picots en relief et était équipé de son petit sac de protection et de rangement en simili cuir brun-rouge et un cordon noir. Au dos, l'écran de contrôle et de visée était bien petit. En façade, il affichait fièrement sa médiocre définition : 1,3 millions de pixels. Il engrangeait les données sur cartes Smart Media très larges et très minces et il était alimenté par quatre piles AA de 1,5 volt. Très vite je me suis équipé de deux jeux de quatre batteries et d'un chargeur pour rassasier ce dévoreur d'énergie : un jeu de piles alcalines neuves ne durait que quelques heures. Extrêmement bien conçu, il n'était ni trop lourd, ni trop léger pour la prise de vue. Vite opérationnel, il tenait bien en mains et avait tout l'équipement de base intégré : flash automatique, retardateur, trois choix pour la définition et surtout un zoom qui allait du grand angle au téléobjectif. Fini les mallettes en aluminium et les sacs en cuir épais, il m'accompagnait partout sans être encombrant et devenait comme un carnet de croquis toujours sous la main et à disposition d'une capture.
Tellement passe-partout et discret qu'on finissait par l'oublier et le poser n'importe où. C'est ainsi qu'un jour, alors qu'il était en attente sur une chaise, quelqu'un s'est assis dessus et a brisé le mécanisme de repli de l'objectif qui était sorti. Devenu inutilisable, le foyer du lycée sollicité m'a financé un nouvel appareil pour mes élèves. Le trésorier du foyer a récupéré celui cassé et l'a fait réparer pour le mettre au service des activités annexes de l'ensemble de l'établissement. Comme on ne modifie pas une équipe qui marche, j'ai racheté le même modèle d'Olympus Camedia, la seule différence visible était la robe dorée du boitier au lieu d'une argentée.
L'air de rien, on venait de basculer dans une autre ère, celle de la photo opulente, facile, pas chère donc à la portée de tout le monde, de l'avalanche de clichés pour tout et pour rien, et personne ne s'en privait. Les élèves l'avaient tout de suite adopté : ils photographiaient tout, leurs copains, leurs grimaces, leurs chaussures, les murs de la salle d'Arts Plastiques et le prof, prioritairement avant de photographier leurs productions plastiques comme ils le devaient. Le moindre évènement devenait prétexte à reportage : l'arbre de Noël du Lycée, la chorale des profs, la journée Portes ouvertes en Arts Appliqués, l'atelier Capoeira, le carnaval de l'internat … Pour le démarrage et dans le seul mois de décembre 1998, on attaque fort avec cinq cent quarante photos. Impensable avec notre argentique pourtant de bien meilleure qualité visuelle. L'année suivante c'est près de trois mille trois cent photos que relève le compteur de l'appareil avant de se stabiliser les années suivantes autour de cinq à six mille.
L'Atelier photo s'est très vite adapté à ce nouvel outil d'autant plus qu'on pouvait aussi faire tirer sur papier ces nouvelles images par des professionnels comme avant. On continuait de prendre des images de qualité avec les Nikon mais de moins en moins, on commençait aussi à délaisser le labo pour des séances de prises de vue plus nombreuses, plus longues, plus mises en scène.
Mais cet usage intensif d'un objet majoritairement en matière plastique, donc fragile, par des mains multiples et pas toujours très précautionneuses, a fini par user, puis briser certaines butées du logement des batteries, du tiroir de l'objectif, de la porte de raccordement. Prendre des photos avec l'éjection intempestive des batteries en plein cadrage malgré des bandes adhésives de plus en plus nombreuses devenait de la haute voltige. Après quelques réparations de fortune à base d'épingles rougies au feu et fichées dans les parois, il a bien fallu se décider à lui trouver un remplaçant. Ce sera un autre Olympus Camedia, le C750UZ qui lui succèdera mais vous vous doutez déjà que ce sera la prochaine histoire.



Elèves plus ou moins au travail dans la salle d'Arts Plastiques du Lycée Diderot, 1, 10-12-1998 et 19-05-1999.

Arbre de Noël du Lycée, la chorale des profs, démonstration de Capoeira, le 14-12-1998; Journée Portes ouvertes en Arts Appliqués, 15-03-2000; carnaval de l'Internat, 3-03-1999.

Séances de pose pour portraits, Atelier Photo, 14 et 22 janvier 1999, 4 février 1999, 5 mai 2000.


9-11-2004 - photo prise par un élève de T°L avec l'Olympus Camedia C750UZ, on y voit le C920Z.

6-12-2004 - Photo prise par une élève de 1°L avec l'Olympus Camedia C750UZ, on y voit le C920Z.

24-01-2005 - photo prise par une élève de 1°L avec l'Olympus Camedia C750UZ, on y voit le C920Z.

2-05-2005 - photo prise par une élève de T°L avec l'Olympus Camedia C750UZ, on y voit le C920Z.

Louis Cane dans son exposition au Musée des Tapisseries, Aix-en-Provence le 6-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Expo Louis Cane au Musée des Tapisseries, Aix le 6-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Chris Marker aux Rencontres d'Arles 12-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Annette Messager aux Rencontres d'Arles 12-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Annette Messager aux Rencontres d'Arles 12-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Annette Messager aux Rencontres d'Arles 12-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Expo Georges Rousse à la chapelle Saint-Charles, Avignon 5-09-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait momentanément du service, il fonctionne toujours.

Expo Georges Rousse à la chapelle Saint-Charles, Avignon 5-09-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait momentanément du service, il fonctionne toujours, on y voit le photographe au travail.