vendredi 4 novembre 2022

Aventure Facebook du 4 novembre 2022

"Mes déclencheurs de boulimie imagière" ou "Donnez-nous aujourd'hui nos clichés quotidiens"

N°14 : Olympus Camedia C750UZ compact numérique – 2004-2008

En remplaçant du C920Z bien fatigué au niveau des matériaux, l'Olympus Camedia  C750UZ avait tout de mieux : une définition de quatre millions de pixels au lieu d'un virgule trois, un zoom optique dix fois au lieu de trois et une carte XD de petite taille à la place des Smart Media. Soyons objectifs : disons presque tout parce que l'écran restait encore petit et l'appareil était bien plus volumineux et d'un design moins sophistiqué. Si le 920 avait eu sept ans de bons et loyaux services avant une retraite bien méritée plus une reprise de quelques mois en 2010, le 750 lui, en témoignent les tags numériques dans les propriétés des photos, n'aura assuré son service que quatre ans. Curieusement, son image reste confondue dans mon esprit avec son successeur, un autre Olympus Camedia, le SP550UZ, qui fut, lui aussi, un appareil de service pour les élèves et pour ma documentation pédagogique personnelle. Encore plus curieusement, je n'ai plus aucun souvenir de la raison de son remplacement aussi rapide. Qui en avait pris la décision ? Pour quelle raison ? Je ne me souviens ni un vol, ni une panne, ni une usure précoce. Qui avait choisi ce modèle ? Comme ce n'était pas moi qui gérait le financement d'achats de matériel pour le lycée, peut-être que l'initiative en revenait à l'intendance ou au foyer socio-éducatif mais pour quel motif ? Quoi qu'il en soit, le 2 mars 2008 le C750UZ prenait encore des images tout à fait correctes et le 6 mars 2008 le relais était pris par le SP550UZ qui le remplaçait au pied levé dans ses fonctions.

Pour toute cette période, où j'étais en poste au Lycée Denis Diderot, la définition des usages des appareils de prise de vue était identique : documentation des travaux d'élèves, documentation de l'actualité de l'art contemporain, documentation des épreuves plastiques de Spécialité du Baccalauréat. En fait, les élèves de cet âge, particulièrement soucieux de leur image physique et de celle de leurs camarades avaient rajouté une catégorie au programme qui prenait largement la priorité sur les autres : "Je te prends, tu me prends, on se prend et tout le reste n'est qu'accessoire."

Je me suis retrouvé avec la plus belle collection de moues, de grimaces, de sourires, de copains inconnus… selfis souvent flous, involontaires et décadrés mais témoignages de première main d'une sociabilité et d'une amitié heureuse et décomplexée qui transcende les générations.

D'autre part, il y avait encore et toujours les photos d'œuvres prises dans les musées, les galeries, les expositions, les biennales qui auraient toutes méritées d'être légendées en détail pour un usage pédagogique rationnel et efficace mais les élues furent peu nombreuses. Restent des centaines d'images potentiellement intéressantes mais qui ont finalement perdu tout leur sens, au fil des mois et des années, faute de rigueur ou plutôt de volonté pour assurer cette tâche longue et fastidieuse. Conscient du risque de cette perte à venir, certains jours, lors de la prise de vue dans les expositions, je photographiais les cartels me promettant de taguer plus tard leurs informations pour les associer à chaque photo mais ce n'était jamais systématique et puis, une fois rentré à la maison, je n'ai fait que très rarement ce travail d'archiviste et les photos de cartels resteront de la boue de dossiers.

Une autre constante qui émerge de ce panel photographique lié au C750UZ, c'est celui d'expositions mémorables comme "Chine, le corps partout" au MAC ou "A fripon fripon et demi" à la Collection Lambert à Avignon ou encore "John Bock" au FRAC. On y voit parfois des célébrités immortalisées plus ou moins à leur insu lors de performances ou présentations. Images hésitantes, prises à la sauvette, lors de vernissages, souvent peu nettes ou oblitérées par d'autres visiteurs mais qui gardent leur statut de traces d'une conjonction improbable ou encore d'une proximité de moments exceptionnels forts sympathiques. En tout état de cause, de conforter une autre sociabilité rare et vécue qui n'enferme pas l'art dans une simple monstration. 

Parmi les premières images du Camedia C920Z, des essais à la maison, le 22-05-2004.

Des images de Morgane, Julia et Karen avec une fois ou deux des camarades associés. Images prises au Lycée de 2004 à 2006.

Des cartels à associer à des œuvres, un jour... MAC, Marseille, Centre Georges Pompidou, Paris, Astérides, Friche Belle de mai, Marseille.

Cadres noirs, présentation officielle de l'exposition : on y voit une dizaine d'artistes chinois et Jean-Michel Jarre (lunettes foncées au fond de la première image).

En haut à gauche, présentation de l'exposition dans la cour de la Collection Lambert, Avignon, Jeanne Balibar chante. Les œuvres sont de Claude Lévêque, Tony Oursler, Katia Bourdarel, Bertrand Lavier, Pierrick Sorin, Kenji Yanobe et d'autres dont j'ai oublié le nom faute de les avoir légendés sur le moment.

Performance de John Bock consacrée à Antonin Artaud, au théâtre et son double.

2004-03-05 Soirée Anthologie Fluxus et Ben, CIPM, Marseille.


2004-03-05 Soirée Anthologie Fluxus et Ben, CIPM, Marseille.

2004-05-30 Robert Combas au travail, devant la mairie d'Aix.

2004-07-02 Expo Glen Baxter, Centre de Poésie CIPM, Marseille.

2004-07-02 Expo Glen Baxter, Centre de Poésie CIPM, Marseille.

2004-07-08 Expo Jean-Claude Le Gouic, Galerie Suzini, Aix-en-Provence.

2004-11-18 Expo Bye Bye la Perf (Julien Blaine à la Friche).

2004-11-18 Expo Bye Bye la Perf (Julien Blaine à la Friche), réinterprétation de la performance de Josef Beuys, Comment raconter l'Histoire de l'art à un lapin mort.

2005-02-10 Georges Didi-Huberman, Bibliothèque de la Méjanes, Aix.

2005-06-24 Koki Watanabe, Expo Laurent Le Forban, Tohu Bohu. La Mercedes et les élastiques étaient de Laurent bien sûr.

2005-06-24 Expo Laurent Le Forban, Tohu Bohu, Marseille.

2006-10-05 Expo Performance de Barthélémy Toguo, Frac, Marseille.

2007-05-10 Expo Livre d'art de Claude Viallat, Paradigme, Marseille. En plus de Claude Viallat, assis, on y voit Bernard Remusat, graveur.

2004-2005 Atelier Photo de Lionel Fourneaux à Diderot, on y voit l'Olympus Camedia C750UZ sur pied.

2004-2005 Atelier Photo de Lionel Fourneaux à Diderot, on y voit l'Olympus Camedia C750UZ, Karen et Lionnel.

2005-05-02 Elodie élève de 1°L, on y voit l'Olympus Camedia C750UZ.




dimanche 23 octobre 2022

Aventure Facebook du 23 octobre 2022

 "Mes déclencheurs de boulimie imagière" ou "Donnez-nous aujourd'hui nos clichés quotidiens"

N°13 : Olympus Camedia C920Z compact numérique – 1998-2005
Mon premier appareil numérique digne de ce nom était un outil de fonction acheté sur les fonds du lycée pour mes élèves d'Arts Plastiques. L'Olympus C920Z était un appareil à géométrie variable qui se mettait en marche en faisant glisser le devant du boitier sur la droite pour dégager l'objectif. Il était couleur argent avec une espèce de fausse poignée or avec des picots en relief et était équipé de son petit sac de protection et de rangement en simili cuir brun-rouge et un cordon noir. Au dos, l'écran de contrôle et de visée était bien petit. En façade, il affichait fièrement sa médiocre définition : 1,3 millions de pixels. Il engrangeait les données sur cartes Smart Media très larges et très minces et il était alimenté par quatre piles AA de 1,5 volt. Très vite je me suis équipé de deux jeux de quatre batteries et d'un chargeur pour rassasier ce dévoreur d'énergie : un jeu de piles alcalines neuves ne durait que quelques heures. Extrêmement bien conçu, il n'était ni trop lourd, ni trop léger pour la prise de vue. Vite opérationnel, il tenait bien en mains et avait tout l'équipement de base intégré : flash automatique, retardateur, trois choix pour la définition et surtout un zoom qui allait du grand angle au téléobjectif. Fini les mallettes en aluminium et les sacs en cuir épais, il m'accompagnait partout sans être encombrant et devenait comme un carnet de croquis toujours sous la main et à disposition d'une capture.
Tellement passe-partout et discret qu'on finissait par l'oublier et le poser n'importe où. C'est ainsi qu'un jour, alors qu'il était en attente sur une chaise, quelqu'un s'est assis dessus et a brisé le mécanisme de repli de l'objectif qui était sorti. Devenu inutilisable, le foyer du lycée sollicité m'a financé un nouvel appareil pour mes élèves. Le trésorier du foyer a récupéré celui cassé et l'a fait réparer pour le mettre au service des activités annexes de l'ensemble de l'établissement. Comme on ne modifie pas une équipe qui marche, j'ai racheté le même modèle d'Olympus Camedia, la seule différence visible était la robe dorée du boitier au lieu d'une argentée.
L'air de rien, on venait de basculer dans une autre ère, celle de la photo opulente, facile, pas chère donc à la portée de tout le monde, de l'avalanche de clichés pour tout et pour rien, et personne ne s'en privait. Les élèves l'avaient tout de suite adopté : ils photographiaient tout, leurs copains, leurs grimaces, leurs chaussures, les murs de la salle d'Arts Plastiques et le prof, prioritairement avant de photographier leurs productions plastiques comme ils le devaient. Le moindre évènement devenait prétexte à reportage : l'arbre de Noël du Lycée, la chorale des profs, la journée Portes ouvertes en Arts Appliqués, l'atelier Capoeira, le carnaval de l'internat … Pour le démarrage et dans le seul mois de décembre 1998, on attaque fort avec cinq cent quarante photos. Impensable avec notre argentique pourtant de bien meilleure qualité visuelle. L'année suivante c'est près de trois mille trois cent photos que relève le compteur de l'appareil avant de se stabiliser les années suivantes autour de cinq à six mille.
L'Atelier photo s'est très vite adapté à ce nouvel outil d'autant plus qu'on pouvait aussi faire tirer sur papier ces nouvelles images par des professionnels comme avant. On continuait de prendre des images de qualité avec les Nikon mais de moins en moins, on commençait aussi à délaisser le labo pour des séances de prises de vue plus nombreuses, plus longues, plus mises en scène.
Mais cet usage intensif d'un objet majoritairement en matière plastique, donc fragile, par des mains multiples et pas toujours très précautionneuses, a fini par user, puis briser certaines butées du logement des batteries, du tiroir de l'objectif, de la porte de raccordement. Prendre des photos avec l'éjection intempestive des batteries en plein cadrage malgré des bandes adhésives de plus en plus nombreuses devenait de la haute voltige. Après quelques réparations de fortune à base d'épingles rougies au feu et fichées dans les parois, il a bien fallu se décider à lui trouver un remplaçant. Ce sera un autre Olympus Camedia, le C750UZ qui lui succèdera mais vous vous doutez déjà que ce sera la prochaine histoire.



Elèves plus ou moins au travail dans la salle d'Arts Plastiques du Lycée Diderot, 1, 10-12-1998 et 19-05-1999.

Arbre de Noël du Lycée, la chorale des profs, démonstration de Capoeira, le 14-12-1998; Journée Portes ouvertes en Arts Appliqués, 15-03-2000; carnaval de l'Internat, 3-03-1999.

Séances de pose pour portraits, Atelier Photo, 14 et 22 janvier 1999, 4 février 1999, 5 mai 2000.


9-11-2004 - photo prise par un élève de T°L avec l'Olympus Camedia C750UZ, on y voit le C920Z.

6-12-2004 - Photo prise par une élève de 1°L avec l'Olympus Camedia C750UZ, on y voit le C920Z.

24-01-2005 - photo prise par une élève de 1°L avec l'Olympus Camedia C750UZ, on y voit le C920Z.

2-05-2005 - photo prise par une élève de T°L avec l'Olympus Camedia C750UZ, on y voit le C920Z.

Louis Cane dans son exposition au Musée des Tapisseries, Aix-en-Provence le 6-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Expo Louis Cane au Musée des Tapisseries, Aix le 6-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Chris Marker aux Rencontres d'Arles 12-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Annette Messager aux Rencontres d'Arles 12-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Annette Messager aux Rencontres d'Arles 12-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Annette Messager aux Rencontres d'Arles 12-07-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait du service.

Expo Georges Rousse à la chapelle Saint-Charles, Avignon 5-09-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait momentanément du service, il fonctionne toujours.

Expo Georges Rousse à la chapelle Saint-Charles, Avignon 5-09-2010, l'Olympus Camedia C920Z reprenait momentanément du service, il fonctionne toujours, on y voit le photographe au travail.




mardi 18 octobre 2022

Aventure Facebook du 17-10-2022

 "Mes déclencheurs de boulimie imagière" ou "Donnez-nous aujourd'hui nos clichés quotidiens"

N°12 : Nikon F3 reflex 24-36 – 1983-2001

En février 1983, en poste à Goussainville, nous habitions sur Paris et le prix des objectifs Nikkor restait prohibitif même chez les marchands de matériel photographique d'occasion que je fréquentais. Par chance, cette même année, Bruno devait faire un autre tour du monde passant par l'Asie. Françoise le rejoignait à certaines escales dont une à Tokyo, le Panthéon du Nikon. C'est elle, cette fois ci, qui me ramena les deux objectifs à grande ouverture commandés : un grand angle 24/2 et un petit téléobjectif 135/2. Depuis longtemps, j'avais envie de me racheter un boitier Nikon F3 pour remplacer le F2 qu'on m'avait dérobé mais je ne voulais pas l'acheter à l'étranger craignant d'éventuels futurs passages de frontière difficiles avec du matériel non taxé en France. Avant de partir pour la Martinique, en septembre 1983, je me décidais finalement pour un achat à la Fnac en payant le prix fort. La sacoche de plombier, trop exiguë pour tout ce matériel nouveau, fut elle aussi avantageusement remplacée par une valise en aluminium très professionnelle.

Le F3 devenait ma bécane principale, celle avec laquelle je prenais des diapositives, le FM était chargé en pellicules négatives, pour des images en noir et blanc ou en couleurs papier. Les quatre objectifs passaient de l'un à l'autre des boitiers en fonction du choix de prise de vue. Ce tandem dura de longues années jusqu'au déclin de l'argentique.

Le climat tropical n'était pas tendre pour les objets quels qu'ils soient et les optiques Nikkor ont payé un lourd tribut aux moisissures, autant si ce n'est plus que le sable du Sahara, à notre retour d'Algérie. La première année, j'ai essayé de nettoyer moi-même les lentilles intérieures du téléobjectif. J'ai démonté proprement avec des outils d'horloger les vis qui fixaient les diverses bagues autour des lentilles de verre. J'ai avec précaution enlevé les moisissures de leurs surfaces mais quand il s'est agi de remonter l'objectif mes doigts étaient bien trop gros pour pouvoir tenir les alignements nécessaires au remontage, je pense que chez Nikon, ils doivent avoir un bâti spécial qui maintient la synchronisation des bagues pour pouvoir remettre les vis à leurs places. Du coup, j'ai téléphoné à Nikon France-Paris qui a compris mon problème et a accepté de me remonter l'objectif à condition de leur envoyer toutes les pièces détachées.  Quelques jours plus tard, ils me renvoyaient mon téléobjectif remonté et garanti pour une somme correcte. De ce jour et pendant toute notre vie martiniquaise, ils sont devenus des amis que j'allais voir tous les ans ou presque pour faire nettoyer ou entretenir mon matériel. Je déposais mes outils agressés en arrivant sur Paris et ils me les rendaient remis à neuf quelques jours plus tard : j'avais une priorité tropicale ou quelque chose de ce genre.

Arrivé à Marseille en tant que prof de lycée, je me devais d'enseigner aussi l'Histoire de l'Art et mes deux boitiers avec le Micro-Nikkor ainsi que le statif du Durst M601 fonctionnaient à plein régime. Il me fallait une banque d'images "spéciale œuvres d'Art" et je l'ai constituée les deux ou trois années suivantes sous forme de diapositives et à grands frais. J'ai dû 'clicheter' de 10 à 12 000 reproductions d'œuvres sur des livres d'art pendant cette période pour illustrer mes cours de supports visuels. Hélas pour moi, le monde était en train de passer au numérique et tout ce travail n’a servi qu'un temps très court précédent l'an 2000 avant de finir lui aussi sur mes étagères où toutes mes choses chéries finissent et finiront.

Au Lycée Diderot, j'ai très vite demandé et obtenu l'autorisation de monter un atelier photo entre midi et deux heures, pour les élèves et les collègues volontaires. J'allais pouvoir renouer avec la pratique du labo et des tirages noir et blanc délaissés depuis des années. Des photographes professionnels m'ont accompagné dans ces projets comme Patrick Box, Lionel Fourneaux et Jean-Marie Plume.

Si j'avais pu obtenir un local, des crédits pour monter un Labo-photo, rémunérer les intervenants et couvrir les frais de fonctionnement, je n'ai pas pu acheter de matériel de prise de vue. Gardant en tête mes premières années d'apprentissage de la photo et mes appareils argentiques me servant de moins en moins, j'ai mis au service de mes novices mes propres déclencheurs comme l'avait fait pour nous, pour moi, Monsieur Finidori dans les années soixante-dix. Transmission de relais : avais-je le droit de faire moins ?






Quelques planches contact de l'atelier photo de Diderot en 1997, 2001 et 2002 et le fantôme de monsieur Finidori.

Ma banque d'images en diapositives dans des boites Prestinox sur les étagères, images du 16-10-2021 (déjà postées dans la série "Etagères").

Ma banque d'images en diapositives dans des boites Prestinox sur les étagères, images du 16-10-2021 (déjà postées dans la série "Etagères").

1997-98 Nikon F3 - Studio de Patrick Box, rue Estelle -Seb-Damien-Julien.

1997-98 Nikon F3 - Studio de Patrick Box, rue Estelle -Seb-Damien-Julien.

1997-98 Nikon F3 - Studio de Patrick Box, rue Estelle -Seb-Damien-Julien.

1997-98 Nikon F3 - Studio de Patrick Box, rue Estelle -Seb-Damien-Julien.

1997-98 Nikon F3 - Studio de Patrick Box, rue Estelle -Seb-Damien-Julien.

1997-98 Nikon F3 - Studio de Patrick Box, rue Estelle - Patrick Box boxe. (Pour toutes les photos du Studio, les éclairages sont réglés par lui)

1997-98 Nikon F3 - Studio de Patrick Box, rue Estelle - Patrick Box boxe. (Pour toutes les photos du Studio, les éclairages sont réglés par lui)

2000-02-03 Patrick prenant un portrait avec le Nikon FM - Atelier photo, salle d'Arts Plastiques, Lycée Diderot.

2000-02-03 Elève prenant un portrait avec le Nikon FM - Atelier photo, salle d'Arts Plastiques, Lycée Diderot.

2000-02-03 Elève prenant un portrait avec le Nikon F3 - Atelier photo, salle d'Arts Plastiques, Lycée Diderot.

2000-02-03 Elève prenant un portrait avec le Nikon F3 - Atelier photo, salle d'Arts Plastiques, Lycée Diderot, le flou frapperait-il toujours les débutants ?

2000-02-03 Elève prenant un portrait avec le Nikon F3 - Atelier photo, salle d'Arts Plastiques, Lycée Diderot, le flou frapperait-il toujours les débutants ?

22 - 2001-2002 - Atelier Photo du Lycée Diderot - Kodak 5053TMY - Nikon FM - Halim au Nikon F3

23 - 2001-2002 - Atelier Photo du Lycée Diderot - Kodak 5053TMY - Nikon FM - Nikon F3- Le flou des débutants n'est pas qu'une légende.